en voyage, brève halte dans un cybercafé pour vérifier que le monde s'est bien arrêté de tourner durant mon absence. je repars tout à fait rassuré : effectivement, aucun message dans ma boîte mail, aucun commentaire sur mon blog, aucune ligne à mon sujet dans le landerneau numérique et littéraire ; les gens retiennent patiemment leur respiration.
Dépêchez-vous, on devient violets...
RépondreSupprimerLes gens sont dégonflés.
RépondreSupprimerbonjour antoine,
RépondreSupprimerj'ai aimé le text- un peu de surréalisme.
oui l'haleine est le mots cela c'est pourquoi tout le monde veut être entendu...