L.239




2 juin 2009


quelquefois, le soir, comme je me couche, les parquets craquent, une porte grince, et je sens bien que dans l'appartement il y a quelqu'un. je serre alors avec angoisse le grand couteau que je cache sous mon oreiller et j'attends que la porte de la chambre s'ouvre. heureusement, le plus souvent, je me souviens à temps que je suis marié.

4 commentaires:

pan ! pan !