Approchez-moi pas, je suis contagieux.
C'est Guillaume Vissac qui m'accuse de lui avoir refilé peut-être l'incommodité de se "lancer dans une folie, écrire, traduire, chaque jour, les unes après les autres, les phrases d’Ulysse [de Joyce]". Le tout en s’octroyant "toute liberté de trahison et de cafard rythmique".
Bourrez-vous de quinine, mais allez voir son Ulysse par jour, qu'est quelque chose.
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pan ! pan !