Comme c'est beau ma chère Ardente Patience, il y a des détails de chez toi que je n'avais pas reconnus la première fois, la dentelle par exemple! Grandiose, doux et poétique... Merci Antoine, dont je découvre le blog, de l'avoir partagée.
Coucou Jeanne ... ça alors, je ne m'attendais à te voir ici ... comment as-tu trouvé le chemin ? Quoi qu'il en soit je te souhaite encore une fois un beau et grand voyage et t'embrasse bien fort.
*
Et, oui, un grand merci à Antoine Brea d'avoir l'audace incommensurable, devant ses pairs, d'afficher mes modestes travaux d'intérêt public (garantis fabriqués sans influence) sur son irréprochable page de poésie et de me jeter un peu la honte pour me fouetter le sang et me faire vivre dangereusement, quelques heures, afin que je ne prenne pas trop de poids à méditer sur le sens de l'existence.
Quelle bonne raison Appas et je vous donne en plus raison : ce n'est pas bien. Moi-même je ne comprends pas et ni comment par quel miracle je me retrouve ici. Je vous souhaite un bon prochain post, qui le sera à n'en pas douter, et je vais m'chatouiller, guiliguili hihihi.
Le chemin était tout taillé de buissons bien ordonnés : j'ai d'abord découvert le blog, puis j'ai rencontré ta belle histoire dessus, au début étonnée, et finalement pas du tout étonnée.
Appas, l'histoire n'est pas triste puisque c'est un conte, je vous assure que vous aurez beau chercher, vous n'y trouverez que de la mélancolie. Sinon faites comme Ardente Patience et chatouillez-vous en écoutant l'histoire!
... la mélancolie je me demande si ce n'est pas pire que la tristesse ... je ne me rends pas compte qu'elle l'est cette histoire ... et ses personnages sont si loufoques d'apparence qu'on a plutôt envie d'en rire ...
moi je n'enjoindrai pas, Jeanne à m'écouter ou me lire, chacun fait ce qu'il lui plaît ...
Comme c'est beau ma chère Ardente Patience, il y a des détails de chez toi que je n'avais pas reconnus la première fois, la dentelle par exemple! Grandiose, doux et poétique... Merci Antoine, dont je découvre le blog, de l'avoir partagée.
RépondreSupprimerCoucou Jeanne ... ça alors, je ne m'attendais à te voir ici ... comment as-tu trouvé le chemin ? Quoi qu'il en soit je te souhaite encore une fois un beau et grand voyage et t'embrasse bien fort.
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Et, oui, un grand merci à Antoine Brea d'avoir l'audace incommensurable, devant ses pairs, d'afficher mes modestes travaux d'intérêt public (garantis fabriqués sans influence) sur son irréprochable page de poésie et de me jeter un peu la honte pour me fouetter le sang et me faire vivre dangereusement, quelques heures, afin que je ne prenne pas trop de poids à méditer sur le sens de l'existence.
J'ai pas envie d'être triste, alors je regarde pas. Je dis pas que c'est pas bien, notez.
RépondreSupprimerQuelle bonne raison Appas et je vous donne en plus raison : ce n'est pas bien. Moi-même je ne comprends pas et ni comment par quel miracle je me retrouve ici. Je vous souhaite un bon prochain post, qui le sera à n'en pas douter, et je vais m'chatouiller, guiliguili hihihi.
RépondreSupprimerLe chemin était tout taillé de buissons bien ordonnés : j'ai d'abord découvert le blog, puis j'ai rencontré ta belle histoire dessus, au début étonnée, et finalement pas du tout étonnée.
RépondreSupprimerAppas, l'histoire n'est pas triste puisque c'est un conte, je vous assure que vous aurez beau chercher, vous n'y trouverez que de la mélancolie. Sinon faites comme Ardente Patience et chatouillez-vous en écoutant l'histoire!
... la mélancolie je me demande si ce n'est pas pire que la tristesse ... je ne me rends pas compte qu'elle l'est cette histoire ... et ses personnages sont si loufoques d'apparence qu'on a plutôt envie d'en rire ...
RépondreSupprimermoi je n'enjoindrai pas, Jeanne à m'écouter ou me lire, chacun fait ce qu'il lui plaît ...