Le Bonbon (Belleville) est un ennemi publicitaire que les commerçants du quartier, ce gang de collabos, ont laissé sans moufter envahir leurs comptoirs.
J'en ai capturé un, l'autre jour, chez le boulanger, au péril de ma santé, dont j'admets qu'une fois pris je ne savais plus très bien que faire.
Je remercie donc Pierre Ménard et son atelier d'écriture consacré à Lucien Suel de m'avoir fourni l'amusante méthode militaire indochinoise qui permet de faire subir à l'adversaire les sévices bien violents qu'il mérite avant qu'il se mette à coup sûr à déparler.
Magnifique Antoine. Très heureux de ce prolongement. J'ai vu ce numéro chez mon boulanger rue du faubourg Saint-Martin, et quand je me suis souvenu que j'avais lu l'un des premiers numéros, je ne l'ai finalement pas pris. Il y avait sur la couverture, une petite fille sur laquelle on n'avait placé cette capsule rose qui, dans sur son visage oblitéré, prenait des airs salaces.
RépondreSupprimerPoémes express de suel, miam ! Moi même je pratique...
RépondreSupprimerMerci Pierre.
RépondreSupprimerVous avez bien fait de ne pas réitérer, on ne sait pas tout ce que cette saleté peut transporter comme virus.
Et de fait, accolés au chevelu qui orne le présent numéro, la capsule magique à laquelle vous faites allusion et le titre ardent de la publication ne sont plus du tout sympathiques.
@ thoams : il faut poster tout ça sur l'atelier de Pierre ! Pour une fois que quelqu'un propose sur fond de littérature des jeux rigolos !
RépondreSupprimernuméros salaces
RépondreSupprimerpoèmes virus
chevelu magique
atelier des rigolos
Quelle classe !
RépondreSupprimerUn poème express de Suel à partir des nos commentaires !