Chers amis,
Me voilà très désemparé. Les statistiques dénoncent un afflux sans précédent de visiteurs grecs parcourant mon journal, sans que je puisse comprendre le pourquoi du comment. J'ai bien pensé à la publicité que s'était sans doute promis de me faire le président Hollande de passage hier à Athènes, mais on m'assure que cela ne figurait pas dans son agenda.
Après examen, il apparaît que le point d'entrée de mes hôtes hellènes est situé ici. Mais parce que je ne sais pas un mot de grec, il m'est impossible de déterminer le motif pour quoi un lien conduit dans la presse grecque jusque chez moi.
J'offre une forte récompense à base d'ouzo à qui voudra bien me traduire l'article d'Athens Voice auquel il est renvoyé plus haut.
À défaut, réjouissons-nous au moins d'avoir eu ce prétexte de regarder Dalida pleine de grâce exécutant un sirtáki.
A.B.
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Addendum du 20/02/2013 à 23:14 heures : Un certain génie de ma connaissance vient de remporter son poids en ouzo en me recommandant de rentrer l'U.R.L. mystérieuse du journal Athens Voice dans l'application Google Translate. Il en ressort qu'à cause de moi, des citoyens grecs paraissent convaincus désormais que ceci fut un vrai poème écrit au XVIe s. par Soliman le Magnifique à l'adresse d'un esclave mâle. Énervés comme sont déjà les Grecs avec la crise et leurs gouvernants plus voleurs et menteurs encore que les nôtres, je sens que j'ai pas fini de m'attirer du grabuge.
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pan ! pan !